Gestion durable des écosystèmes et société

30 novembre 2025

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Synthèse rapide

  • La relation entre sociétés et environnement est complexe et interdépendante.
  • Les activités humaines ont souvent des impacts négatifs sur l’environnement.
  • La fausse perception de la capacité de résilience de l’environnement.
  • L’importance de l’étude des écosystèmes comme systèmes fragiles.
  • La nécessité de mettre en place des politiques de développement durable.
  • Équilibre fragile entre utilisation des ressources et conservation.
  • La prise en compte des externalités environnementales dans la gestion sociétale.
  • La notion d’empreinte écologique pour mesurer l’impact humain.
  • La gestion durable doit intégrer à la fois aspects sociaux, économiques et environnementaux.
  • La sensibilisation et l’éducation sont clés pour une modification des comportements.

Concepts et définitions

  • Équilibre fragile : situation où de petites perturbations peuvent entraîner des changements majeurs.
  • Développement durable : développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures.
  • Externalités : effets positifs ou négatifs d’une activité non pris en compte dans ses coûts.
  • Écosystème : ensemble formé par une communauté biologique et son environnement physique.
  • Empreinte écologique : mesure de la superficie nécessaire pour supporter le mode de vie d’une population.

Formules, lois, principes

  • Loi de conservation de la masse appliquée aux flux de matière dans un écosystème.
  • Principe de précaution : en cas d’incertitude scientifique, il faut limiter le risque de dégradation.
  • La limite de résilience : seuil à partir duquel un écosystème ne peut plus revenir à son état initial.
  • La formule de l’empreinte écologique est une estimation des surfaces nécessaires à la consommation humaine.

Méthodes et procédures

  1. Analyse de l’impact environnemental d’une activité.
  2. Identification des externalités économiques et environnementales.
  3. Évaluation de la capacité de charge d’un environnement donné.
  4. Mise en place d’indicateurs de développement durable.
  5. Suivi des flux de matières et d’énergie dans un système socio-écologique.
  6. Application du principe de précaution en gestion des ressources.
  7. Calcul de l’empreinte écologique à l’échelle individuelle ou collective.
  8. Élaboration de stratégies pour réduire l’impact environnemental.

Exemples illustratifs

  • La déforestation massive dans certaines régions tropicales réduit la biodiversité et perturbe les équilibres locaux.
  • La surpêche des ressources marines menace la pérennité des écosystèmes aquatiques.
  • La pollution de l’air par les industries engendre des externalités sanitaires coûteuses pour la société.

Pièges et points d'attention

  • Confusion entre croissance économique et développement durable.
  • Sous-estimation de la capacité de résilience de certains écosystèmes.
  • Ignorer les externalités négatives dans l’évaluation des coûts.
  • Survalorisation des solutions technologiques sans changement de comportements.
  • Négliger l’importance des paramètres socio-culturels dans la gestion environnementale.

Glossaire

  • Externalités : effets indirects d'une activité économique.
  • Équilibre fragile : système susceptible de changer d’état face à une perturbation.
  • Développement durable : développement conciliant aspects économiques, sociaux et environnementaux.
  • Empreinte écologique : indicateur de l’impact humain sur l’environnement.
  • Résilience : capacité d’un système à se remettre d’une perturbation.